PAS SI BETE

Léon Ménard retrouve sa jolie cousine Nicole par un heureux hasard. Il fait aussi la connaissance de son fiancé Didier, jeune et sémillant aristocrate.
Nicole l'invite dans sa luxueuse villa, et il se rend avec joie à cette invitation. Il y retrouve son oncle paternel qui a bien réussi dans l'industrie, mais aussi le père de Didier, le comte de Bellemont qui semble au bord de la ruine.
Il fait aussi la connaissance de Gaby une actrice et de son impresario. Léon est un peu sur ses gardes avec ces deux-là ! Est-ce son bon sens de paysan simple et naturel qui le prévient ?
Nicole et Didier se fiancent et c'est l'occasion pour Léon de pousser la chansonnette ; non ! ce n'est pas "les crayons" comme annoncé partout y compris sur la pochette du film, mais "Je l'aimerai quand même".
Avec Joseph, le majordome (un ancien copain de régiment) et Mademoiselle, la gouvernante de Nicole, Léon se sent à l'aise. Mais sans en avoir l'air, il surveille Gaby et son ami et les surprend en train d'échafauder un plan louche pour récupérer des sous !
Pour cela, Gaby fait semblant de s'éprendre du Comte,le manipule pour qu'il obtienne que son fils se marie sans contrat... Léon veille et empêche son oncle de tomber dans le piège.
Hélas, le mariage de Didier sincère et très fier et de Nicole est compromis.
Léon en gentil cousin arrangera les choses pour assurer le bonheur des amoureux et décidera lui aussi de se marier avec Rosine sa promise.
Tout est bien qui finit bien.